Voilà cher lecteur fidèle de mon blog ou de mes « chroniques facebookiennes » (oui, il y a un renvoi automatique…), ce soir je vous ai bombardé de chroniques alors que j’étais resté sous silence pendant un peu plus d’un mois. Mais ne vous inquiétez pas, je n’ai pas arrêté de lire pour autant…mais je n’avais pas pris le temps de rédiger mes commentaires.
Alors, cette dernière chronique ce soir concerne un coup de cœur. J’ai littéralement été plongé dans ce livre sans aucune possibilité de m’en sortir. Jusqu’à la dernière page, j’étais suspendu comme un chat attendant son repas jusqu’aux dernières pages.
Une si belle écriture et une superposition d’histoires reflètent le savant montage de l’auteur mais le tout reste d’une grande clarté pour le lecteur. Un peu de magie et de déconnection dans ce livre fait le plus grand bien dans un monde devenu trop réel…à travers une très belle passion amoureuse et la vision d’un enfant dans une partie de cette histoire.
Pour comprendre le point commun entre une caissière, un homme vivant de redevances dans les jouets, une ornithologue et son fils : il faut lire Didier Van Cauwelaert et cette superbe histoire.
De l’humour, des moments graves, de la magie font de ce roman un livre à lire impérativement.
Preuve à l’appui, au salon du livre, je n’ai pu m’empêcher d’acheter deux autres livres de l’auteur, je ne les ai pas encore lus mais je ne vais pas pouvoir attendre trop longtemps…
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